La demande de crédit peut être une étape fastidieuse. C’est pourquoi, on vous suggère quelques bonnes vieilles méthodes pour mieux comprendre les étapes qui vous attendent en tant qu’emprunteur, et ce, en évitant les mauvaises surprises.
Composition d’une mensualité de crédit
Comme vous l’avez deviné, la mensualité du crédit concerne éventuellement les intérêts et la partie capital. On tient compte de la somme prêtée, de la durée de remboursement, et des taux incluant l’emprunt.
Afin d’effectuer le calcul, on se réfère à un tableau d’amortissement, aussi appelé échéancier de paiement. Sa précision permet à tous les emprunteurs de suivre de près la répartition du capital amorti, mais aussi, le capital restant dû, et les prélèvements avec intérêts.
Pour un crédit à taux fixe, ce document est alors fourni par la banque qui est dans le devoir d’informer son client sur les différentes modalités de remboursement, appuyés par des chiffres et des résultats concis des calculs de crédit. Cette formalité permet de mettre les deux parties en confiance, par rapport au crédit immobilier qui généralement prend une longue durée pour être complètement remboursé. Chaque paiement comprend les intérêts déduits du montant du crédit, avec une partie du capital, qui est à déduire du capital restant dû.
Les revenus pris en compte dans un calcul de mensualité de crédit
La banque tient compte des revenus pour paramétrer les mensualités de crédit immobilier. Elle va déterminer la capacité d’emprunt du demandeur, en se référant à sa recette, dans le cas d’un salarié, le dossier est évalué à partir du salaire net, tandis que chez un indépendant, les bilans sont analysés en fonction. Dans les cas les plus courants, on se fie aux revenus locatifs avec un taux d’environ 70%, aux aides diverses, ou encore aux pensions alimentaires. Les activités engendrant des revenus irréguliers ne sont pas prises en compte dans cette étude.
Au final, pour avoir un résultat plausible du calcul de la mensualité, seule la stabilité des revenus reste un facteur déterminant dans l’obtention du prêt. Du moment que les revenus présentent une source sûre et régulière de recette, la chance est du côté de l’emprunteur. L’ancienneté de l’entreprise est un atout dans le dossier, un contrat CDI va confirmer la crédibilité du métier, surtout avec des années d’expériences dans une même section d’activité. Dans ce type d’analyse, l’évaluation des risques prend plus de place sur la balance.